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40 % des décideurs informatiques ne savent pas si leurs équipes de développement sont en retard ou en avance sur le calendrier
27 % ont du mal à suivre leurs progrès sur l'atteinte des objectifs

Le , par Sandra Coret

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L'étude de Couchbase, basée sur une enquête auprès de 650 décideurs informatiques de haut niveau, montre que 88 % des personnes interrogées sont conscientes des défis auxquels sont confrontées les équipes de développement.

Les principaux problèmes cités sont les suivants : les délais et les exigences d'agilité sont difficiles à respecter (42 %) ; on leur demande de faire trop de choses en trop peu de temps (40 %) ; elles ne disposent pas des compétences (24 %) ou de la technologie (23 %) dont elles ont besoin.

"Les organisations doivent comprendre que lorsqu'elles entreprennent une transformation numérique, ce qu'elles font en réalité, c'est mettre les développeurs au premier plan", déclare Ravi Mayuram, directeur technique de Couchbase. "L'entreprise moderne dépend plus que jamais du développeur et de l'agilité du développement. Les équipes de développement n'assistent pas l'entreprise, elles la conduisent vers de nouvelles frontières grâce à la transformation numérique. C'est pourquoi il faut leur donner les bonnes ressources : qu'il s'agisse d'une infrastructure basée sur le cloud, d'outils adaptés au CI/CD et de la bonne formation. C'est ce qui garantira le succès en ces temps de transformation et de croissance axées sur les produits."

Les obstacles rencontrés pour soutenir les équipes de développement comprennent la difficulté de les redéployer rapidement pour travailler sur de nouveaux projets en cas de besoin (32 %), l'assurance qu'elles disposent toujours de la bonne technologie (31 %), ainsi que l'identification et la résolution des problèmes auxquels les équipes sont confrontées (31 %).


Bien que les entreprises prévoient d'augmenter leurs dépenses de transformation numérique de 46 % en 2022, les équipes de développeurs n'ont augmenté que de 3 % en moyenne l'année dernière. Pour combler cet écart, les organisations devront investir dans la croissance de leurs équipes tout en rendant les équipes existantes plus efficaces.

Si 30 % des personnes interrogées déclarent que la pandémie leur a appris à responsabiliser les équipes de développement, 24 % ont encore du mal à évaluer si leurs équipes sont engagées et enthousiastes dans leur travail.

Source : Couchbase

Et vous ?

Trouvez-vous cette étude pertinente ?

Voir aussi :

81 % des équipes de développement admettent avoir sciemment mis en ligne du code vulnérable, 20 % des cadres supérieurs reconnaissant même le faire souvent, selon un rapport d'Immersive Labs

Une plus grande automatisation est nécessaire pour accélérer le développement de logiciels sécurisés, selon une étude de Security Compass

70 % des développeurs achèvent "fréquemment" ou "toujours" des projets sans effectuer toutes les étapes de sécurité, en raison des délais serrés et de la pression d'innovation, selon Invicti Security

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Avatar de Mingolito
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 16/09/2022 à 3:24
C'est le principe de Peter mais que pour les managers. Quand un développeur est bon on le garde comme développeur, parce que la vrai valeur d'une équipe c'est les développeurs, les manager c'est du décors.
Quand on trouve un type totalement incompétent on ne peux pas le garder comme développeur, si tant est qu'il ait les compétences requises pour devenir manager, comme par exemple arborer un sourire niais en toutes circonstances, savoir toujours dire oui au patron et aux clients, tenir l'alcool, avoir un bon catalogue de blague de cul, et surtout savoir jouer au golf.

Une fois le manager arrivé à son poste, s'il y est totalement incompétent, alors il reste à son poste, il ne peut pas monter en grade, c'est le principe de Peter.

Donc ce principe prouvé fait que les managers sont forcément incompétents, et c'est ce que montre cette étude.
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Avatar de marc.collin
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 15/09/2022 à 19:38
cela fait quand même peur qu'autant de décideur ne maitrise pas plus ce qu'il se passe dans leur projet.
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Avatar de
https://www.developpez.com
Le 17/09/2022 à 13:28
Bonjour

40 % des décideurs informatiques ne savent pas si leurs équipes de développement sont en retard ou en avance sur le calendrier, 27 % ont du mal à suivre leurs progrès concernant l'atteinte des objectifs

Trouvez-vous cette étude pertinente ?
Plutôt d'accord !

Car j'ai constaté une chose récemment . Un grosse boite de la grande distribution avec qui nous travaillons , n'a pas de planning clair pour faire ces évols en facturation !

Les techs nous disent que les évols sont pour fin 2022 ... leurs managers ne sont pas aux courant
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Avatar de HaryRoseAndMac
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 15/09/2022 à 20:13
Parce que dans ces 40%, la majorité des entreprises interrogées sont des ESN et que, dans le fonctionnement des ESN, il est commun de considérer les développeurs comme étant en bas de la pyramide afin de pouvoir les payer le moins cher possible.

De fait, les chefs de projets en réalité communique peu avec les développeurs, très souvent, par complexe de supériorité.
Or, dans la réalité, les développeurs dans l'organisation d'une entreprise sont à placer au dessus de la pyramide et non en dessous.

Ce qui implique que les développeurs sont les décisionnaires et les chefs de projets les validateurs.
Dans cette organisation qui devrait normalement être celle d'une entreprise informatique, cela suppose de payer les développeurs 3 à 4 fois plus cher que ce que les ESN les rémunèrent mais surtout, cela suppose que les chefs de projets sachent forcément l'état d'avancement du projet.

Car le simple fait de continuer à payer un développeur le même salaire alors qu'il se retrouve à discuter avec le client, à prendre des choix techniques, ... et donc faire tout un travail de commercial + de gestionnaire + de choix techniques + ...

A un moment donné il faut arrêter le délire et à ce sujet il ne faut pas s'étonner derrière que l'on parle de grandes démissions.

Mais avant qu'une ESN travaille correctement, fasse du travail de qualité, respecte ses employés, et ne se comportent pas comme des requins sur le marché en volant le travail des Freelances et petites entreprises, les poules auront des dents.

Les premiers responsables étant les grosses entreprises et l'état, qui continuent encore en 2022 à faire appel à des ESN.
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